En ce début d’année, l’actualité nous parle déjà de santé mentale, d’adaptation de notre système pour les personnes vulnérables, d’ordonnances sociales, alors 2019 sera-t-elle l’année de la santé mentale et du développement social?

Ressources Coaticook vous propose trois articles intéressants à lire en ce début d’année :

Il faut qu’on parle de santé mentale de François Cardinal – La Presse (5 janvier 2019)
Un bel éditorial sur l’importance d’aborder la santé mentale, en tant que collectivité, et d’investir dans ce domaine, puisque les besoins sont de plus en plus grandissants :

« Oui, la santé mentale fait les manchettes périodiquement, quand un sans-abri tombe sous les balles d’un policier ou qu’un hôpital donne son congé à un patient aux idées suicidaires. Mais aussitôt racontés, ces drames sont éclipsés, oubliés. »

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Une cour plus humaine pour les accusés vulnérables  d’Isabelle Mathieur – Le Soleil (5 janvier 2019)
Un article annonçant que la Cour de Québec s’est donné comme résolution en 2019 de mieux accompagner les contrevenants déficients intellectuels ou souffrant de problèmes de santé mentale de la région de la Capitale-Nationale. On y présente également le Programme d’Accompagnement Justice-Santé Mentale (PAJ-SM) et comment il se déclinerait.

« L’une des grandes innovations du PAJ-SM est de faire entrer un «agent pivot» (travailleur social, éducateur spécialisé, infirmière, etc.) du CIUSSS de la Capitale-Nationale dans les murs du palais de justice de Québec.

Cet intervenant du milieu de la santé sera chargé de rencontrer l’accusé, aux cellules ou en liberté, pour évaluer s’il pourrait être admissible au programme et, s’il l’est, élaborer un plan de match pour lui. »

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Une visite au musée ou du tricotage sur ordonnance de Sheryl Ubelacker – Presse Canadienne (2 janvier 2019)
Un article sur un projet pilote en Ontario dans lequel les professionnels de la santé remettent une « ordonnance sociale » aux patients qui souffren de dépression, d’anxiété ou encore de solitude, un concept qui a déjà fait ses preuves au Royaume-Uni. Les recherches sont d’ailleurs plus que concluantes :

« Le concept – prescrire une activité telle qu’un cours de yoga ou une visite dans une galerie d’art – a déjà fait ses preuves au Royaume-Uni, où des recherches ont montré que les patients constataient non seulement une amélioration de leur santé mentale, mais finissaient aussi par réduire leurs doses de médicaments et leur nombre de visites chez le médecin. »

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Bonne lecture et que 2019 soit l’année où ensemble, nous parlerons et ferons de la santé mentale une priorité en tant que communauté!